Accident de Caly

Je parviens enfin à la clinique, je rentre poussant doucement la porte et rentre, je vais voir mon assistante et lui dit de bloquer touts rendez vous pendant 1heure30, il me faudrais au moins ça pour oppréer la chienne et etre la à son réveil, elle à l'aire étonnée de me me voir arriver avec un chien, assé sale, ce n'était pas dans les habitudes de la maison apparament, j'étais nouvelle ici et il allait falloir qu'ils s'habituent à autre chose que les petits chiens qui viennent pour leurs rappels, et oui je dis ça car apparament c'est l'essentiel des rendez vous d'après ce que j'avais pu voir depuis mon arrivée ici. Enfin bon je ne m'attarde pas trop à l'accueil, la chienne était toujours sous tranquilisant mais risquait de s'agiter dans quelques temps, il fallait que je l'endorme avant, sinon elle serait très certainement affolée et bondirait sur tout ce qui se trouve sur son passage, comme elle l'avait fait en ville quelques minutes plus tôt.

J'emprinte donc le long couloir qui mène à la salle d'oppération, la je la dépose doucement sur la table, je prend mon stetoscope pour écouter son coeur, il bat normalement, pas de problèmes de ce coté la, je vérifie également qu'elle est toujours contiente passant ma main devant ses yeux pour voir s'il y avait de la réaction, pas de soucis, je suis enssuite sa respiration, la encore tout va bien, elle reagit très bien au tranquillisant, j'ai donc encore de longues minutes devant moi sans qu'elle ne s'agite. Je me dirige donc vers un meuble ou tous les ustantsils sont posés, je les prends puis les posent sur la tablette à coté de la table d'oppération, enfin, je prend l'anesthésiant que je dose pour le poids de la chienne. Je reviens près d'elle et la caresse doucement.

"Ne t'inquiete pas, après ça tout ira mieux pour toi."

Je lui refais une caresse tout doucement puis enfin lui injecte l'anesthésiant, j'attend quelques minutes le temps qu'elle soit endormie avant de commancer l'opération.

Caly ne pouvait plus bouger ... Ou du moins, plus quand elle le voulait. Tout ce qu'elle désirait, c'était que cette femme cesse de la toucher, et surtout, descendre de la voiture dans laquelle on venait de la mettre. Où l'emmenait-on ? A la fourrière, sûrement. Elle gémit doucement en pensant cela, gémissement qui aurait dut être un aboiement. Mais ce qu'on lui avait injecté l'endormait, la détendait complètement, sans qu'elle ne comprenne vraiment pourquoi, et comment cela était possible. Mais avec les humains, à présent, plus rien ne l'étonnait le moins du monde. Elle fut obligée de se laisser porter lorsqu'on la descendit en dehors de la voiture, pour parvenir à un grand bâtiment beige, où de gros caractères s'affichaient, sans qu'elle parvienne à comprendre leur sens. Après tout, les chiens n'avaient jamais apprit à lire, et se débrouillait avec la langue qu'il entendait pour comprendre les humains.

Caly parvint donc dans une salle blanche, où on l'allongea sur un lit, après être passé devant un femme au regard ahuri, que Caly aurait bien aimé mordre pour l'avoir regardé ainsi. Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? Elle n'avait jamais vu un chien ?

Bref, une fois sur la table, Caly ne bougeait toujours pas, et regarda la main de l'humaine, sans pouvoir la mordre. Rha, pourtant, ça la démangeait assez. Elle ne comprenait pas pourquoi elle était ici, ce qu'il allait se passer ... Où était-elle, surtout ? Elle n'avait pas encore vu de chiens, hormis en photo, à quelques endroits, sur les murs ... Même les caresses, elle ne pouvait rien faire contre. Brusquement, elle sentit un nouveau picotement, le même qu'elle eut ressenti dans la ruelle, bien que moins douloureux. On la piquait encore ! Qu'allait-il se passer ?

* Holà ... Ca tourne ... "

En effet, les murs semblaient changer de place, et les objets devenaient flous, se déformaient. D'un coup, Caly sombra dans le sommeil.

J'attendais que la chienne s'endorme, pendant ce temps, je ne pouvais que voir l'état de la chienne, elle n'étais pas très grosse, mais pas maigre non plus, mais dans une saleté certaine, vu qu'elle ne pouvait plus bougée, j'en profite pour aller chercher un flacon pour lui faire le test de la rage, s'il se révèle négatif, elle aura droit à son vaccin et ça en restera la, s'il est postif, ce qui me parraissais peut probable, je n'ose pas imaginer ce qui l'attendrait. Pour le moment je me contente de lui faire une prise de sang, puis je pars au microscope pour l'annalyser, je reviens quelques minutes plus tard, les resultas sont negatif, donc je prend une piqure, puis injecte à la chienne le vaccin. Voyan qu'elle ne dormais toujours pas, je pars dans le chenil réservé au réveil des animaux, la, je prend le plus grand box, me disant que quand la chienne se reveillerait elle serait nettement moins stressée dans un grand box que dans un tout petit.

Sur ses pensée je prépars donc le box puis reviens près de la chienne, elle dort, maintenant je vais pouvoir travailler et la soigner. Je descend donc l'appareil pour passer une radio, il en ressort une patte fracturée ainsi qu'une grande luxation de la hanche, ce quiexplique le fait que la chienne ne pouvais plus bouger de l'arrière tain. Je commance donc à opérer la chienne, il ne servait à rien de mettre simplement un platre, il fallait une plaque, c'etait une très mauvaise fracture, mais avec la plaque tout se remettrais bien et très vite, je fixe donc la plaque avec des vises, puis recoue la plaie et enfin met un strapping bien serré pour immobiliser le plus possible la patte. Ensuite je passe à la hanche, la malheureusement rien de spécial à faire, un strapping la aussi et de la patience.. beaucoup de patience.. il allait lui en falloire à cette pauvre chienne. Enfin tant que je le pourrais je veillerais sur elle et son bien être.

Une fois tout fini il ne me restait plus qu'a la mettre dans le box, oui mais voila, je la trouvais sale, du coup en meme temps j me permet de la laver, de lui rendre un bon aspect, elle se sentirais surment mieux comme cela.

"Voila ma belle, te voila toute propre, tu n'as plus qu'a te remettre doucemet de tes blessures."

Enfin je prends la chienne dans mes bras et l'emmène dans son box ou je l'installe confortablement sur des couvertures lui en mettant une sur elle pour lui tenir chaud et attend qu'elle se réveil, ce qui ne devrait plus tarder maintenant. Je referme donc la porte du boxe et regade au travers les barreaux.

Ah oui.. les cadeaux de noël, il fallait toujours que les gens fassent original et évidement, qu'est ce qui ferais plus plaisir à un enfant qu'un petit chien ? rien bien évidement, pour la simple raison que tous les enfants rêvent d'un petit chien, mais les parents bien souvent ne mesure pas le travail, le temps et les frais qu'engage un chien et offre cela comme une fleur ou un vase, la comparaison est assé moche, je vous l'accorde mais c'est néanmoins la dure réalité des choses, pourtant des campagnes de sensibilisation ou autre était menné tous les ans à ce sujet, mais pensez vous vraiment que les gens y prétaient attention ? et ben non, enfin dans la pluspart des cas, je l'avais bien vu quand j'exerçais dans mon ancienne ville, malgré toutes les information que je pouvais donner, et bien le chien, le chat ou autre étaient de parfais cadeaux pour noel, mais l'été venu combien de personne venait me voir pour mettre une annonce par laquel ils donnaient leur animal ? Tous ceci était terrible et je ne savais pas si un jour nous trouverons une solution..

Mais bientot je suis tiré de mes pensées par des petits mouvement, la chienne revient à elle doucement, elle ouvre les yeux, elle devait se sentir perdu d'ailleurs j'en ai confirmation quand je la vois grogner puis essayer de se lever, chose qu'elle ne peut pas faire pour le moment, elle devait avoir mal, oui ça j'en étais contiente, mais je ne pouvais pas lui faire une autre piqure pour la soulager, du moins pas pour le moment, c'était beaucoup trop risqué.

Par contre ce que je pouvais faire c'était de lui donner un peut à boire, pour manger elle devra encore attendre quelques heures. Je me lève donc puis pars chercher une gamelle d'eau, je reviens à coté de la porte du box et l'ouvre posant la gamelle juste devant elle de sorte qu'elle n'ait pas à bouger.

"Désolée la miss, mais tu sais, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, bientot ta patte et ta hanche seront guéris, la tu pourra ressortir et aller gambader ou bon te semblera, mais essaye d'éviter les routes, je ne serais peut etre ps toujours la"

je souris un peut à la chienne tout en refermant la porte. Elle était magnifique, une berger australien, chien très intelligent et très rapide également.

Houlà ... Ça tournait encore un peu. Caly demeurait couchée, refermant les yeux par moments afin de reprendre la totalité de ses esprits. La douleur qui l'élançait dans la hanche l'aida. Elle ouvrait les yeux, pour voir la jeune femme face à elle, l'observant toujours. Où était-elle ? A la fourrière ? Ca expliquerait le box. Mais pourtant, à son dernier séjour, ce n'était pas comme cela ... L'endroit avait changé. Elle ferma les yeux une dernière fois, et lorsqu'elle les rouvrit, elle vit que l'humaine avait disparue. Où était-elle partie ? Bah, tant pis.

Brusquement, des sons lui indiquèrent que quelqu'un revenait. La jeune femme entra à nouveau dans la pièce, toujours silencieuse, avec une gamelle dans les mains. Qu'est-ce que c'était ? Qu'allait-on lui donner ? L'humaine pénétra dans le box, et déposa la gamelle face à la chienne. Cette dernière aurait voulut la mordre par instinct, se méfiant toujours autant de la jeune femme. Mais allongée, ce n'était pas très évident. Et de plus, elle semblait elle aussi garder ses distances. Elle avait bien raison.

La jeune femme lui parla alors, lui indiquant que cela ferait encore mal pendant un moment. La route ? De quoi parlait-elle ? Les souvenirs lui revinrent brusquement, comme le crissement, la voiture d'une voiture grise, les passants ... Elle s'était faite renverser par une voiture. Rha ! Il fallait qu'elle sorte d'ici ... Si elle demeurait trop longtemps au même endroit, les employés de la fourrière finiraient par venir la chercher ... Ou pire encore : ses anciens propriétaires, décidés à la retrouver.

S'appuyant alors sur la patte qui n'était pas blessée, elle tenta de se relever.

* Allez ... Une patte ... Une deuxième ... Il faut que je sortes d'ici ... *

Debout sur trois pattes, la quatrième en l'air, elle aurait du mal à s'avancer. Mais de toute manière, sa hanche la rappela à l'ordre comme un coup de fouet. Elle se rallongea, vexée d'être aussi faible en ce moment même.

Je regarde la chienne qui a encore un peut de mal à se remettre de l'anesthésie, c'etait normal, il fallait compter plusieus grosses minute pour qu'elle se remette, je lui sourit un peut puis retroune dans la salle d'oppération pour la nettoyer, mon assistante étant partit, son service fini. Je me mets donc à nettoyer la table d'oppé, puis je me dirige vers l'évier et lave les ustansils que je met enfin au stérilisateur, je jette tout ce qui est compresses, seringue ou autre et je vais déposer la poubelle dehors.

Les policiers m'avait vu emmener la chienne, elle leurs avait donné du fil à retendre, et je m'attendais à les voir débarquer d'un moment, ou un jour à l'autre, ils viendraient chercher la chienne pour la mettre à la fourrière, ou elle sera adoptée, ou dans le pir des cas... non je ne voulais pas penser à cela. De toute façon, je ne sais pourquoi, mais je les laisseraient pas l'emmener la bas, s'il le fallait je cacherais la chienne le temps qu'il faudra. Je soupire en regadant les puces électroniques, cela me fait penser qu'il allait falloir que je puce shadowfax, il était pas mal à se ballader lui aussi, bon, il avait une médaille oui, mais il pourrait perdre son collier et la, il n'y aurait plus rien pour l'identifier. J'en met donc une dans mon sac, avec une seringue, je ferais ça à la maison. J'allais retourner près de la chienne quand j'entend la porte de la clinique, je me dirige donc vers la salle d'attente, me demandant bien qui pouvait venir à cet heure ci. Une fois dans celle ci je vois 3 personnes, un policier, et..2 employés de la fourrière. ILs me disent qu'ils viennent chercher le chien qui à été renverser dans l'après midi, qu'il ne devait pas rester ici, qu'il était très certainement un chien dangereux, je n'était bien évidement pas d'accore avec tout cela, mais néanmoins je les conduits jusqu'a la chienne, un dans d'entre eux commance à sortir son lasso, et me pousse pour ouvrir la porte du box, Ahhh non ! pas moyens, cette chienne était chez moi, accidentée, et apperée, jeme met donc devan lui, entre lui et la cage, le poussant, regarant le policier et les deux employés.

"Vous ne l'emmènerez nulle part, cette chienne est convalessente et abolument pas une menace pour qui que ce soit, de plus, elle n'est porteuse dela rage, laissez la se remettre, de tout façon dans son état elle n'a aucune chance de trouver un adoptant."

Sur ses mots je fais toujours face aux 3 hommes qui finisse par lacher

"Bon, effectivement, il n'a pas l'air en forme, tenez, notre carte, appelez nous dès qu'elle est déplacable, sinon nous reviendrons dans quelques jours".

Sur ces mots les hommes partent, je soupir un peut, en regardant la chienne doucement. Heureusement qu'elle était tombée sur moi, sinon.. elle ne serait peut etre plus de ce monde.. Je la regade, elle à l'air énervée, perdue.. stressée.. elle n'avait meme pas l'air contiente que je venais de lui sauver la vie deux fois. Je décide donc de renter dans le box, qui est bien assé grand pour nous deux, ainsi, j'espérais la mettre en confiance petit à petit, lui montrer que je navais rien de méchant, qu'elle ne craignait rien de ma part. Je m'assied juste à coté de la porte que je referme derrière moi et la regade doucement tout en lui parlant avec une voix douce et calme.

"Alors, je sais que tu n'es pas au top forme mais ça ira bientot, de plus ne t'inquiete pas pour ses hommes, ils ne t'emmènerons pas, du moins, tant que tu sera ici et sous ma protection."

Puis je ne sais pas pourquoi je me met à me confier à cette chienne, elle avait vécu la misère elle aussi et je me mis à penser qu'elle allait me comprendre, un peut comme shad le faisait.

"Tu sais, moi aussi j'ai eu de gros problèmes il y a bien longtemps, mais un ami m'a tendu la main et je m'en suis sortit grace à lui, il ne faut pas toujours mettres toutes les personnes dans un meme panier, des gens t'on fait du mal, oui je l'ai vu, mais tout le monde n'est pas comme eux."

En disant ça je pensais bien évidement à thierry, c'est vrai, il avait fait beaucoup pour moi, et puis, je pensais aussi beaucoup à shadowfax également dans ces paroles, lui, il m'avait défendu contre deux types qui ne me voulaient pas du bien.. heureusement qu'il était la. Sans lui, je ne sais pas se qu'il me serait arrivé..

Assise dans le box de la chienne, je n'avais pas l'intention de bouger quoi qu'il arrive, d'ailleurs je ne tarde pas a la voir retrousser les babines, mais cela ne m'impressionne pas, je savais que c'était plus de la méfiance voir de la peur, ce n'était pas prudent de rester la, avec un chien qui me montre les crocs, d'ailleurs la dernière fois que j'avais insisté pour aider un chien, c'était le Berger allemand devant la maison, mais lui, il m'avait mordu, et pas doucement, ce qui m'avait valu quelques points et un petit séjour à l'hopital, ne vous faites pas d'idées, je n'ai aucunement envie de retourner à l'hopital, j'avais assé de mon pensement qui me rappelais ce pourquoi j'y avait été.., mais mon sens du devoir fait que je ne peux laisser un chien dans la détresse comme cela. Je soupire un peut suite aux mots que j'avais prononcé juste avant, shadowfax m'avait probablement sauvé par rapport à ce berger allemand, mais qu'était il devenu ? j'avais toujours le remord de ne pas avoir pu finir mon travail, il était toujours dehors avec des blessures peut etre infectées.. Je ne comptais pas relacher cette chienne avec des blessures non guérries, et de plus, je tenais à la calmer aussi un peut avant de la relacher, enfin, quand elle poura bien bouger sans trop de difficultés.

Je croise le regard de la chienne qui ne bouge pas et prend bien soins de ne pas s'approcher de moi, je lui sourie légèrement, elle était déja un peut moins agressive envers moi, ce qui me rassurais un peut, peut etre que finalement elle comprenais que je ne lui voulais pas de mal, au contraire, j'aurais aimer lui prouver que tous les hommes ne sont pas mauvais, bien qu'il fallait déja que je m'en convinc moi meme.. après tout, il n'y avait pas qu'envers les animaux que les hommes étaient cruels, entre eux aussi ils l'étaient, je l'avais bien connu et je savais aussi que cela laisait des traces, aussi bien physique que psychologique et qu'il fallait du temps pour pouvoir refaire confiance, il fallait vouloir avancer aussi, après tout s'éclaisissait..

Enfin bon, voyant la chienne un peut plus calme je sort de ma poche un petit sac dans lequel était placé des gateaux, que j'avais acheté exprès pour shadowfax, mais je me décide à en donner quelques uns à la chienne, avec des gestes lents j'ouvre le sac et en sort un le posant pas trop loin de moi, ni trop près, juste une bonne distance pour que la chienne s'approche un petit peut.

"ne t'inquiete pas, sois tranquille, tu ne crain rien de moi, je ne gardrais pas renfermer ici, je ne te retiendrais pas non plus avec moi contre ton gré, tiens c'était pour mon chien, mais je crois qu'après ce que tu as vécu tu le mérite bien."

Je souris un peut en la regardant, elle était belle, encore plus belle que quand je l'avais rapporter, le fait de l'avoir lavée un minimu lui avait rendu déja une superbe apparence.

L'humaine ne bougerait pas ... Ca, la jeune chienne venait de le remarquer. Enfin ... Elle s'en doutait un petit peu. Mais pourquoi lui porter autant d'importance ? A côté d'elle, la gamelle d'eau ne bougeait pas, et son contenu n'avait pas baissé. La chienne ne comptait pas y toucher, et ne désirait pas non plus s'approcher de la jeune humaine, restée assise contre la porte. Tout ce qu'elle pensait qu'elle l'aurait laissé là, en plein milieu de la route, alors qu'elle était prise d'une douleur vive. Peut-être certains auraient-ils voulus l'achever. Mais au contraire, elle était venue, et l'avait endormie devant les autres passants restés immobile. Ce qu'il s'était passé ensuite, elle n'en avait aucun souvenir, puisqu'elle avait été endormie. Ce sentiment de faiblesse l'agaçait assez, mais la faisait aussi réfléchir.

Ne bougeant pas, elle regardait l'humaine, allongée sur le côté. Sa patte avant gauche lui faisait assez mal, et elle ne pouvait prendre appui avec. Un beau bandage l'entourait, lui serrant les poils. Quelle sensation désagréable que de se sentir prise au piège. Silencieuse, Caly regardait la jeune humaine dans les yeux : elle ne semblait pas avoir de mauvaises intentions, mais c'était aussi ce qu'elle avait ressenti face au jeune enfant devant lequel sa vie, et surtout son calvaire, avaient débuté.

Mais brusquement, la jeune humaine s'agite, et fouille dans sa poche. Les yeux de la chienne se posent sur sa main, qui s'engouffre dans le morceau de tissu. Elle retroussa légèrement les babines, méfiante de ce qu'elle pourrait sortir. Elle avait peur qu'elle profite de son état. Mais alors, ce qu'elle sortit étonna la jeune chienne. Des biscuits ? L'humaine les posa devant Caly, qui respira le parfum gourmand des gâteries. Cependant, elles étaient à la base réservées pour un autre chien, et de plus, l'on achetait pas la loyauté de la chienne.

Pourtant, l'attitude de l'humaine la surprenait assez.

*Allez ma grande, un petit effort. Après tout ... *

Elle se secoua un peu, grimaçant en sentant la douleur de sa hanche, mais continua son mouvement, s'allongeant d'abord sur le ventre, quittant sa position couchée sur le côté. Elle se redressa ensuite un peu, se rapprochant du bol d'eau. Elle en lècha la surface, le liquide lui descendant agréablement dans la gorge. Mais elle gardait tout de même un oeil sur sa connaissance.

J'avais donc posé le gateau non loin de la chienne, mais elle ne bougait pas, du moin elle ne semblait pas en avoir envie, je ne devais pas lui inspirer grande confiance, oui enfin ça, c'était normal je dirais, vu son passé, elle devait se méfier de tout et de tout le monde, surtout si elle a été abandonné comme je le supposais. De plus d'après ce que j'avais constater, elle était dans les rues depuis plusieurs années, ce qui n'arrangais rien non plus, les hommes n'étaient pas très tendre envers les chiens qui étaient livrés a eux meme en pleine rue. Il est vrai que ces chiens n'attiraient pas la sympatie envers certaines personnes, ils éventraient les poublelles, volait la nourriture un peut partout, ils étaient sales et sentaient mauvais, avec tout ça, les gens ne voyaient pas l'autre face de ces chiens, qui luttaient comme ils le pouvaient pour survivre, se battant entre eux pour un morceau de viande, pour leurs territoire ou encore d'autres choses, nous humains nous avions tout ou presque, donc et nous nous soussions bien plus de nous que de ces pauvres bêtes.. enfin, pour la majorité des hommes.

Enfin je vois la chienne se bouger un petit peut, elle n'avais pas l'air rassurée quand j'avais plongé ma main dans ma poche pour en ressortir les gateaux, cela dit elle se calme un peut quand elle voit que je ne sort rien qui pourrait lui nuir, mais ne mange pas. En revanche elle s'approche doucement pour aller boire, ce qui me rassure un peut, au moins je n'aurais pas à la perfuser pour l'hydrater. Je souris un peut sans bouger la regardant faire, bouger lui ferais peur et je voulais gagner sa confiance, non lui faire peur. Je voyais déja qu'il me faudrais de la patience, mais j'étais presque certaine qu'elle finirait par me faire confiance, ou du moins, ne pas me voir comme une ennemie, sans cela, faire les soins serait un defit dont je ne serais pas vainceure. Je la regarde toujours faire, elle buvait, c'était bien,mais il fallait qu'elle mange aussi, chose que pour le moment elle ne fesait pas. Je regarde donc le gateau puis la chienne.

"C'est bien, mais il faut que tu manges aussi pour reprendre des forces, vas y, ça ne te fera pas de mal, et puis, un peut plus tard je te donnerais un peut de viande si tu en veux."

Toujours sans bouger je la regarde attentivement, si elle ne se décidait pas à manger il allait falloir que je perfuse, et je savais déja que si je fesais ça, elle me prendrais surment pour une sorte de monstre qui ne lui fait que des piqures, ce que je pouvais comprendre, moi meme je détestais ça.

Je regarde la chienne se recoucher de son mieux certainement pour soulager sa patte et sa hanche, je soupire en la voyant, j'avais mal pour elle, j'avais fait mon maximum, maintenant c'était à elle de jouer, je ne pouvais pas lui faire une autre injection tout de suite, elle devait d'aborde se remettre complètement de son anesthésie, de plus, je devais attendre aussi qu'elle me fasse une certaine confiance, je n'allais quand meme pas me battre avec elle pour lui faire une injection, et par la meme occasion lui faire revenir sa peur en l'homme, enfin, envers moi en l'occurence, mais dans quelques temps il faudra que je lui fasse tout de meme son injection, que cela lui plaise ou non. Je l'observe donc, elle a l'air un peut plus détendu envers moi, ce qui me réjouis un peut.

"Voila, c'est bien, tu vois, je ne te veux aucun mal, tu sais, je te sortirais de ce mauvais pas et tu poura recourir ou bon te semble comme avant, mais j'espère que tu évitera les routes, je n'aimerais pas te réparer de tous les cotés comme ça."

Je dis tout cela d'une voix douce et amusé à la fois, il était néanmoins vrai que je ne voulais pas la retrouver en morceaux, mais je ne pouvais pas non plus l'enfermer pour éviter cela, j'espérais juste qu'elle ferais attention, que cette mésaventure lui aura servit de leçon. L'observant toujours je la voit pousser vers moi les gateaux que je lui avait proposer, je soupire un peut voyant bien qu'elle ne voulait pas les manger, peut etre voulait elle autre chose, je n'en savais rien, tout ce que je savais c'est qu'il fallait qu'elle mange maintenant. Je pousse donc la porte puis la referme derrière moi. Je pars dans la salle de consultation ou se trouvais sur l'étagère des pâtés pour chien après oppération, ces pâtés avait pour but de refaire manger les chiens après leurs oppérations, elles étaient délicieuses et très peut de chiens résistaient à leurs odeurs. Je prends donc une boite de cette pâté puis la dépose dans une gamelle, coupant la pâté en morceaux, puis je reviens au box de la chienne, rouvre la porte, rentre, m'assoie et referme la porte. Je dispose alors la gamelle près de la gamelle d'eau mais en la mettant à la porté de la chienne, de manière à ce qu'elle n'ait pas à bouger pour la manger, puis je souris doucement à la chienne.

"Tiens, c'est rien que pour toi, c'est très bon, et avec ça tu reprendra vite des forces pour te remettre à flots, vas y, manges, ne te prive pas."

Je disais ça en espérant que cette fois elle mange, cette pâté était vraiment une invention génial pour les chiens oppéré et fatigués, c'etait juste ce qu'il lui fallait pour qu'elle reprenne vite des forces.

Je regarde la chienne silencieusement, elle n'avait pas l'air bien méchante au fond, juste un tromatisme dut à l'homme certainement, et ça, je savais que tant qu'elle ne l'aurait pas décidée, elle ne refera plus confiance en l'homme. Néanmoins, je la vois finalement approcher sa tete de la gammelle avec la pâté, bien, si elle pouvait la manger ça serait magnifique, et quelques secondes plus tard je la voit lécher un peut la paté, je me dit que la, elle fini par me faire un minimum confiance, et cette confiance j'allais en avoir besoin quand je regarderais l'état de sa patte et de sa hanche un peut plus tard, pour l'heure elle devait avoir mal, je me dis que je ferais bien de la laisser manger toute seule, qu'elle se sentirait mieux, enfin derrière des barreaux mais mieux tout de meme sans humains dans sa cage.. je sors donc un peut de la cage refermant soigneusement la porte derrière moi, puis je vais tranquillement à la salle de consultation, ou je prépars une seringue anti douleurs, avec ça, elle sera un peut soulager pendant quelques temps.

Je lui accorde encore quelques minutes pour manger, j'en profite pour aller fermer les portes de la clinique, sauf que la, je vois un client dans la salle accompagné de son chien, un magnifique beauceron de 2 ans, il vient chercher me dit il du produit anti puce, je lui souris et vas lui chercher d'un bon pas. Décidément, si ont ne feme pas les portes les gens rentrent sans se soucier de l'heure ! Enfin bon, je reviens quelques secondes plus tard en lui donnant son produit, je caresse un peut le chien puis il s'en va, je ferme donc la porte à clé derrière lui puis baisse le rideau, je reviens dans la salle de consultation et fait de meme avec la porte qui donnait sur l'extérieur. Je regarde l'heure, 15 minutes se sont passées, la chienne avait dut manger, je prends donc ma seringue et repart dans le chenil, la je la pose au dessus de la cage pour ne pas que la chienne la voit, puis j'ouvre un peut la porte la regardant pour vérifier qu'elle avait bien manger.

"Alors? ça t'a plu? ça doit te faire du bien de manger à ton aise sans te soucier qu'un autre pourrait te voler ta nourriture non ?"

je souris à la chienne en la regardant doucement.

[ Pardon du retard ]

Caly continuait de lécher doucement le sommet de la pâté, prenant son temps pour déjeuner. Elle postait ses pattes de chaque côté du grand bol en plastique, son nez à l'intérieur. Certes, tant qu'elle n'en aurait pas eu l'expérience d'une gentillesse humaine, elle ne risquait pas de se lancer dans le domestique. Tout ce qu'elle désirait, c'était être libre, loin de tout ces humains, qui lui avaient fait endurer des choses qu'elle ne voulait plus vivre. Ainsi, en s'éloignant, elle était certaine que plus rien n'arriverait.
Brusquement, elle sent que la jeune femme bouge. Elle leva la tête, vive, les oreilles dressées, aux aguets. Et surtout, méfiante. Mais alors qu'elle la surveille, elle voit la vétérinaire s'éloigner d'elle, ouvrir la porte du box, et sortir, en refermant derrière elle. Elle demeura silencieuse, ainsi posée, la tête en l'air, pendant quelques minutes, fixant la porte de la cage. Et dire que c'était tout ce qui la séparait de l'extérieur ... Mais pour l'instant, elle le savait bien, elle n'était pas en état de se sauver, et surtout de sortir. Elle se pencha alors à nouveau sur sa pâtée, mangeant un peu plus à l'aise, par bouchée. La pâtée n'avait pas mauvais goût. Elle était même très bonne.

Penchant la gamelle, au bout de quelques minutes, elle termine de manger. Elle la repose alors, lâchant les bords, et souffle un coup : ça faisait du bien de manger un peu, mine de rien. Elle but un peu, et patienta. Peut-être que dormir accélèrerait les choses. Mais alors qu'elle allait fermer les yeux, elle entendit la porte de la cage grincer. Elle se mit sur ses gardes, pour voir l'humaine revenir. Décidemment, elle ne lâchait pas l'affaire ! Quand elle lui parla, Caly ne bougea pas, toujours silencieuse. Evidemment, que cela lui avait plu, mais elle ne comptait pas lui montrer. Même si elle devait lui être reconnaissante. Elle l'avait tout de même bien aidée. Elle observa l'humaine : si elle était revenue, ce devait être pour quelque chose : mais quoi ?

(pas grave je suis pas mieux xD)

Effectivement, la chienne avait bien manger toute sa paté quand j'étais revenue, elle devait se sentir mieux sans hommes près d'elle, pourtant, elle devait souffrir de sa patte et de sa hanche, et pour la soigner, il allait falloir qu'elle me laisse la toucher et me faire confiance, chose qu'elle ne pas faire a ce moment précit, ou du moins, pas totalement. J'avais encore en mémoire la vilaine mossure que m'avait fait ce berger allemand errant que j'avais voulu aider, qui lui, n'avait pas la meme optique que moi, cela m'avait couté un petit séjour à l'hopital et quelques points qui me tiraient de temps en temps encore, mais ça ne changeait pas le fait que je ferais tout pour aider cette chienne, meme si cela doit me couter encore une mossure et des points, ça équilibrera les deux mains.... -_-' , je regarde la chienne et retire les deux gamelles doucement pour me faire de la place, car il allait m'en falloir un peut la. Mais avant tout, il fallait que je l'osculte un peut, que j'écoute son coeur, sa respiration.. donc, que je m'approche, et ceux, meme si madame n'était pas du meme avis que moi. Je prend donc mon stétoscope et m'avance un peut plus prèt d'elle avec des gestes lents mais sur ainsi qu' une voix douce pour la rassurer un peut.

"Alors ma belle, je sais que tu n'aimes pas ceux de ma race et je ne peux pas t'en vouloir, mais il va falloir que je m'approche pour t'osculter, tu dois avoir mal maintenant, tu veux bien me laisser te regarder un peut ?"

disant cela je pose doucement ma main sur le dos de la chienne sans brutalité ni précipitation. Je n'en fais pas plus pour le moment voulant voir sa réaction, elle me connaissait a peine et avait peur de l'homme, il fallait y aller en douceur et je n'avais pas vraiment envie de l'endomire une fois de plus, d'autant plus que pour l'enformir le problème serait le meme, à savoir que je devrais m'en approcher pour le faire, donc j'esprais juste qu'elle me fasse confiance que je puis regarder ses blessures et lui faire l'injection de calments.

Je m'étais donc approchée de la chienne doucement en lui parlent, j'avais réussie à poser ma main sur son dos, oui mais voila, quelques secondes après je me retrouvais avec mon bras dans sa gueule.. Rahh je n'avais pas de chance ces jours ci.. entre le berger allemand d'hier et la chienne aujourd'hui.. fiouf m'enfin il y avait une légère différence quan meme, à savoir que la chienne ne serrait pas ses crocs sur moi, elle me tenait tout simplement, je ne sais pas trop si je préferrais ça.. enfin bon, c'était toujours mieux que d'etre modu surment. Je souris à la chienne et la caresse doucement sur le dos avant de sasir mon stétoskope et appliquer le bout en ferre sur son coeur tout doucement de mon seul bras qui me restait.. pas très pratique tout ça quand meme..Enfin bon j'essaye de me concentrer du mieux que je peux et finalement j'écoute sa respiration et son coeur, tout allait bien, elle reprenait vite, bientot elle serait sur ses quatres patte a ce rythme. Je souris un peut regardant la chienne tout en remettant mon accessoir autours de mon cou.

"Et bien alors, tu reprend vite des forces ont dirait, mais je suppose que tu dois avoir mal mal non? tu veux que je t'aide a ne plus avoir mal ?"

Effectivement, elle devait avoir mal, le calmant ne devait plus faire effet et il fallait surment que je lui refasse une injection pour la soulager, mais pour ça.. il fallait quelle me lache le bras.

"Par contre si tu ne me lache pas le bras, je ne pourrais pas te soulager ma belle"

Je rigole un peut regardant la belle chienne qu'elle était.

je souris une peut quand la chienne dessert son emprise sur mon bras, et oui, ce n'étai pas encore tout à fait fini, il ne manquait plus qu'une petite piqure à faire, d'ailleurs, après cela il me semblait qu'elle pourrait sortir dans les plus brefs delais, son était s'améliorait à vue d'oeil, elle était belle et forte de surcrois. J'etais heureuse de lui avoir porter tous ces soins et malgré tout, je continuait à penser que meme si elle restait sauvage, elle avait une certaine confiance en moi ce qui m'avait permis de lui prodiguer les soins voulu pour la sauver. Enfin bon, pour le moment il fallait que je lui fasse sa dernière piqure anti douleur, je me recule donc un peut puis sort de la cage prenant la piqure dans ma main et re rentre de nouveau m'approchant d'elle doucement et toujours avec des gestes lents. Je continue à lui parler comme si elle me comprenait, parce que je savais très bien que parler aux animaux, pour la plupart cela les calmait, j'espérais donc qu'elle ne s'affole pas trop et accepte de nouveau le soin que je devais lui prodiguer.

"La, je veux juste te faire une piqure pour calmer ta douleur, tu repends vite, après ça je pense que ça ira très vite, tu veux bien me laisser faire?"

Je pose doucement ma main de nouveau sur son dos et attend la reaction de la chienne avant tout autre chose.

Caly avait desserrée la mâchoire, afin de laisser Sarah retirer son bras. Après tout, jusqu'ici, elle ne lui avait fait que ce qui pourrait l'aider. Pourquoi arrêterait-elle ? Caly soupira, vexée de devoir se montrer si faible, surtout face à un humain, à qui, d'habitude, elle n'accorde aucune confiance. Elle l'observa, qui sortit de la cage afin d'aller chercher une seringue. En voyant l'objet, la jeune chienne fit une légère grimace. C'est fin, et ça pique, ce truc là. Elle écouta la jeune humaine et lui accorda une dernière faveur, posant sa tête sur ses pattes avant : enfin ... Plus sur l'une des deux que sur l'autre, la gauche étant blessée. Elle soupira, laissant la vétérinaire s'occuper d'elle. Un évènement, qu'elle ne renouvèlerait pas, du moins elle l'espérait.

[ Désolée, pas d'inspi du tout , là XD ]

Je regarde la chienne un instant, je me demandais bien si elle allait me laisser l'approcher avec la seringue ou au contraire me mordre, ce qui entre nous, ne m'aurait pas trop surprise. Mais non tout vas bien apparament elle me laisse approcher assé facilement et ne prend meme plus mon bras dans sa gueule, très bien je peux donc disposer de mes deux mains. De la main gauche je désinfecte doucement le carré de peau pour faire la piqure, que je fais de la main droite tout en douceur, sans gestes brusque ou autre. Une fois fini je caresse un peut la chienne doucement, sans précipitation et lui parle d'une voix calme et seraine.

"Tu vois, tout c'est bien passé, maintenant reposes toi et dans quelques jours je t'enlèverais tous ces bandages."

Je ressors alors de la cage en refermant la porte derrière moi, puis jette l'aiguille et le coton à la poubelle puis finalement revient prendre les deux gamelles de la chienne que j'emmène avec moi, dans l'une je remet de la pâté appétissante et dans l'autre de l'eau. Je lui repose doucement dans la cage tout en lui souriant avant de refermer une nouvelle fois la porte.

"Tiens, ça t'aidera a passer la nuit si jamais tu as un petit creu, surtout ne te gènes pas."

Je lui sourit une dernière fois puis métire en baillant, je manquais de someil, il est vrai qu'avec tout cela, je n'avais pas trouvé encore le temps de dormir un peut, oui mais voila, ici je n'avais rien pour dormir. Je vais donc dans le placard du fond, en sort un lit de cam de fortune qui j'avais entreposé la, j'en ressort aussi une couverture puis dresse le lit de camp dans le chenil juste devant la cage de la chienne et finalement m'allonge ma tete face à elle. Je la regarde longuement avant de m'endormir, au moins, j'étais la si jamais elle avait besoin. Puis je m'endors doucement en repensent à cette longue journée que je venais de passer.