Rivaul Corsas

sa ne m'avais pas étonner qu'il m'aide il avait bon coeur. Sa devait la seul parcelle de ma vie pour laqu'elle tout allait bien. C'est vrai Cedric était tres gentil et doux avec moi, même si notre premiere rancontre n'avais été fameuse. Pour moi c'était du passer maintenant il était aussi gentil et innofencif qu'un chiot... En plus il était aussi mignion qu'un chiot. Ouais avec lui j'avais de la chance. En faisant bien attention je prend les pieds de mon coeur et nous nous dirigions vers l'hopital. Le chemin avait été long mais bon nous sommes enfin arriver. Aussitot entrer dans l'hopital des medcins viennes prendre mon pere pour s'occuper de lui... Je le regarde partir sur un siviere. Qu'elque minute plus tard un infirmiere vien nous voir

" On lui a assignier un chambre. Il est stable plus le moment vous l'avez emporter a temps. Sa temperature est-il rester longtemps dehors ? "

"oui quand même asser. Je les trouver les veines trancher. J'ai essayer de stopper le sang de couller du mieux que je pouvais. "

" Vous aviez bien fait. Sa lui a surment sauver la vie mais il a quand même perdu une bonne quatiter de sang est-ce qu'il a une personne dans votre famille qui a le même groupe sanguin il aurait besoin d'une transfusion "

" moi ! "

" Parfais suivez moi ! "

Je regarde Cedric et lui souris faiblement. Moi qui detestais les vaccin... Je l'embrasse avant de suivre l'infirmere qui me conduit a une salle. Elle me pique. Ne regarde pas Gen tu sais que tu deteste les vaccins. Une fois terminer je me sans un peux mol. C'est normal on venait de m'enlever une partit de mon sang d'un trait.

" Est-ce que je peux aller le voir ?? "

" Je suis desoler pas pour le moment il doit ce reposer et nous devons lui donner le sang... Revenez plus tard ! "

Tête basse je sors de la piece pour aller rejoindre Cedric. Maintenant mon pere était en de bonne main j'était plus rassurer. J'avais envie de rester dans les bras de Cedric toute la nuit pour me sentir en securiter. Arriver pres de lui je le regarde ne sachant pas trop quoi faire. Je ne pouvais pas voir mon pere... Alors pourquoi pas rentré a moin qu'il aille d'autre chose a faire. Je remarque la vielle secretaire au cheveux gris qui nous regardais... Qu'est-ce qu'elle a à regarder Cedric de la sorte ??

J'ai droit à un autre baiser avant que tout ne se termine. Même la vieille femme est là à me dévisager...elle me pointe presque du doigt en criant salop à tu-tête. J'exagère...l'alcool qui fait toujours effet. Je sens que dans les jours qui vont suivrent, la bière et moi ne feront plus qu'un. Le pire dans tout ça c'est que c'est de la faute à l'alcool justemet si je me suis laissé faire. Mais c'est moi qui avait décidé d'en consommer, alors je suis le seul coupable je crois. Alors que Geneviève part pour la transfusion, je réfléchi aux mots que je vais prononcer. Juste à y penser ça me fait mal. Je sens le regard lourd de reproche de la vieille peau qui me scrupte comme un faucon qui observe sans relache sa malheureuse petite proie. Je soupire, mais comment je pourrais lui expliquer ? Clairement, doucement...et calmement. Ça semblait pas mal comme solution.

Lorsqu'elle revient, je pris ses mains et l'attira à l'extérieur. J'étais conscient que c'était la dernière fois que je la touchais. Je l'emmena dans un coin isolé où il n'y aurait pas une tonne d'oreilles indiscrettes ou de yeux curieux. Je prends une grande inspiration tout en l'observant, une dernière fois.

"J'aimerais que tu écoutes jusqu'à la fin ce que j'ai à te dire. Tantôt, lorsque tu es partie, je suis aller au bar...moi aussi j'avais besoin de décompresser. J'ai donc commander une bière pour ne plus m'arrêter. Même que je me sens encore saoul...mais ça ça n'a pas d'importance. La serveuse m'a alors emmener à un môtel et elle m'a embrasser."

Je baissa la tête, incapable de la regarder dans les yeux.

"Et je ne l'ai pas empêcher. Elle a insister, elle ma toucher...M'a presque dévêtu au complet. C'est d'ailleurs à ce moment que je suis partie. J'ai compris que j'étais un salop et que tu méritais mieux que moi."

Cette fois, je releva la tête pour la regarder, la dernière fois.

"Je t'aimerais toute ma vie, mais je te souhaite le bonheur que tu mérites avec un homme bien meilleur que moi"

Elle n'aurait pas à chercher bien longtemps lorsqu'on y pense...ma conduite avait été tellement stupide que de toute façon, elle ne peut pas vraiment trouver pire. Avant qu'elle ne dise quoi que ce soit, je tourne les talons et m'enfuie. L'aveu avait été une vrai torture alors si je devais la voir en colère, ou pire en larme, je ne le suporterai pas. Je cours jusqu'à chez moi dans l'espoir d'y crever bientôt.


----->à mon appartement

J'arrive rapidement, je me garre sans trop faire de détails, je regarde les chiens en espèrant qu'ils resteront là, mais c'est une très faible chance. Je sors et rentre dans l'hôpital, je ne prends pas le temps de me débarasser de la neige que j'avais sur mes bottines. Je dévale l'escalier sans rien dire, je monte rapidement, chambre 156, chambre 156,... Je suis affolée, énervée, triste,... Voilà, porte de la chambre 156, je toque une fois, et entre. J'apperçois Geneviève en pleures, et Rivaul qui vient juste de se réveiller, me semble-t-il. Je m'approche de lui, des larmes chaudes coulent sur mes joues, je ne sais pas quel sentiment triomphe, la tristesse ou la colère ? Je m'apprete à donner une baffe, alors sûrement la colère. Mais non, je n'ose pas, il est trop affaiblit, finalement c'est la pitié qui remporte ! Je me colle contre lui, mes yeux rouges de larmes...
"Rivaul ! Pourquoi tu me fais ça, on est tous là ! Si tu fais ça, c'est à nous que tu fais du mal,... ! "
Je caresse son visage avec ma main, je serre ses cheveux dans ma main, signe de douleur attroce qui remplissait mon coeur...

et bah il dors le papa. Moi jetais toujours la a regarder les allée retour des infirmiere je ne sentais plus la fatigue j'avais vecu trop de chose pour pouvoir penser de dormir ce soire. Je n'en reviens pas qu'apres tout ce qui j'ai eu aujourd'hui je ne me suis pas encore suicider. Mon pere l'avait deja essayer je ne devait pas lacher. Si je veux je peux etre forte et passer a travers tout cela. Pour l'instant je ne pouvais rien faire d'autre que pleurer c'est normal apres tout. Les heure passerent les larmes continuais toujours autant de couller je n'étais pas prette a les arreter je ne sais pas comment mais sa me faisait du bien de pleurer. La faible voie de mon pere me parvint. Je leve la tête pour le regarder. J'espere que cette fois il va ecouter les medecins et prendre soin de lui. Par la suite ces ma mere qui arrive... Oufff papa allait avoir une giffle. A ma grande-suprise non elle est douce avec lui. Heureusement parce qu'on ne frappe pas un homme aussi faible. Je me leve et m'approche a mon tour du lit essayant d'accrocher un simple sourire même si mes larmes trahiassait tout.

" alors le beau au bois dormant a fini par ce reveiller ! "

Je regarde Geneviève qui vient près de son père, elle semblait un peu plus en forme qu'avant, cependant je voyais bien qu'elle retenait ses larmes... Je caresse le visage de mon mari, il est si faible. J'entends la faible voix de Rivaul, je souris, j'acceptais ses excuses, même si il ne devrait pas les avoir...
"Ne t'inquiète plus Rivaul. Nous sommes là, reposes-toi... "
Je dépose un bisou sur sa joue, je passe une main dans ses cheveux et je me redresse un peu. Je regarde Geneviève, on devait faire attention à elle, je pose une main sur son épaule en me baissant vers elle...

J'etais contente que maman pardonne a papa il ne meritais pas qu'on l'abandonne là même s'il avait faite une chose incroyablement idiot. Je devais être la seul qui le comprenait face a sa puisque moi aussi j'avais tenter plusieurs fois de me tuer. Je me demandais si ma vie serais comme celle de papa... Trouverai-je vraiment la bonne personne pour moi. Pendant plusieurs semaine j'avais penser que sa serais Cedric. Nahh il avait raison c'était tout un salaud. Je regarde papa qui me tendais la main. Sans trop reflechire je m'avance vers lui et embarque dans le lit en faisant bien attention a ne pas faire de geste brusque. La derniere fois que j'etais embarquer dans un lit d'hopital avec lui j'avais eu droit a une bonne baffe que j'ai pas encore oublier mais bon pour l'instant j'avais besoin d'être coller. Non sa n'allait pas comment sa pouvait aller apres une tel journée mouvementer ?

"je crois que sa ne peux pas plus mal aller ! "

J'esperais ne pas lui faire de mal tout ce que je voulais c'était avoir un peux de bonheur en moi mais je crois que je devrais attendre pour cela parce que je m'inquiette trop de la santé de mon pere. Fort comme il était j'était presque sure qu'il allait s'en remettre puisque chaque fois c'était comme sa. C'est la routine quoi. Bien sure que je fesait confiance a mon pere qui ne pourrais pas faire confiance en leur pere ? Bah peut-etre ceux qui ce font violer et battre par leur pere mais a ce que je sache il ne ma jamais fait une tel chose. Erff il fait toujours tout pour ce faire mal mais la au moin c'est pour me reconforter...

" J'ai l'impression que tout me lache d'un coup. Je perd tout mon bébé ma soeur ta fallit mourrire Cedric qui me fait la plus pire chose qu'on ne peux pas faire a un fille... Je hais les filles du bars tout bien former qui on profiter de son état saoul... Je le hais ! J'ai hate que cette journée finisse enfin j'en peux plus des mauvaise nouvelle ! "

Ho bien sure que je l'aimais c'est pourquoi j'avais eu si mal lorsqu'il m'avait annoncer cet nouvelle. J'aurais été prette a lui donne ma vie tellement j'avais une confiance aveugle en lui. Tout le monde avait l'air d'être soulager que j'aille perdu mon bébé. Bande de cruel sans coeur ses dur pour une mere de perdre son enfant. Mouais bon c'est vrai que j'etais trop jeune pour etre enceinte apres tout comme me l'avait dit Cedric j'ai l'age pour avoir encore plusieurs enfants mais avec qui ? Pour l'instant je ne sais pas si je pourrais me laisser abandonner dans les bras d'un autre homme parce que Cedric occupe toute la partie même apres ce qu'il ma fait je suis incapable de me dire ou de me convincre que je le deteste. Mon pere a raison si je n'allais pas le voir je ne serais plus vraiment moi. Seulement une ame en peine qui s'occupe de bien ce comporter avec sa famille. Je crois que les medicaments son trop fort mon pere delire en me disant d'aller le voir alors qu'il le deteste. Je leve la main pour toucher son front. Mouais il etait un peux chaud.

" Non je crois que je vais attendre un peux. Tout ce qui m'interesse c'est de m'occuper de toi pour que ta santée revienne c'est pas le temps pour moi de perdre un pere ! "

Pauvre petite chienne elle avait si peur qu'on ne la garde pas. Je savais que mes parents avait mon coeur et qu'ils allaient la garder. La pauvre elle etait si petite qui pourrai laisser une petite chienne mignionne comme elle sans foyer dehors ? Pas moi en tout cas si je pouvais je prendrais tout les chiens du chenil et ceux qui son sans maison et je les garderais tous avec moi... C'est beau de rêver. Mon pere semblait insiter sur le fait d'aller voir Cedric. Il n'avait pas l'air de comprendre que je n'étais pas capable et que j'avais peur. et si je laissais filler celui qui pourrais vraiment me render heureuse jusqu'a mon dernier souffle. J'avais la net impression que oui. Sa va etre encore a moi de faire les premier pas et d'aller lui parler comme me conseillait mon pere. Erfff il ce prenait pour un sage lui ? En tout cas il acceptait le fait que j'aimait vraiment Cedric. J'aurais du voir dans ses yeux qu'il ce sentait coupable mais j'avait été trop choquer sur le coup d'apprendre ce qu'il avait fait. Il disait me trouver quelqu'un de mieux que lui mais a quoi sa serre si celui-ci n'est pas celui que j'aime ? Je regarde longuement mon pere avant de lui faire un bizou sur la jouer et de me lever. Bon bah faut que je prenne mon courage a deux mais et y aller. Mouais je devais un peu trop obeissante mais sa me preocuopait pas puisque sa faisait plaisire a mon pere. Au moin sa allait le menager un peux. Je sors tranquillement de la chambre redoutant un peux le moment crusialle. Va falloir que je remerci mon pere si tout s'arranger avec Cedric...

[ chez Cedric ]

après avoir chercher un peut partout la chambre de mon fère je finis par demander a une infirmière la chambre, gentiement elle m'y conduit je la remerci et reste quelques instants devant la porte je souffle un peut puis frappe doucement a la porte, je l'ouvre et rentre. Je vois kyren et la salut puis mon regard se pause sur rivaul, il a l'air faible, j'avais beau chercher dans mes souvenir je ne comprenais pas, je m'approche doucement de lui et l'embrasse sur la joue lui passant ma main sur sont front tout en lui souriant.

- Rivaul? c'est moi... sarah,

Je préférais attendre sa réaction avant tout autre choses..

Je regarde rivaul qui sursaute quand je le touche, je regarde kyren qui reste silentieuse puis me reconcentre sur rivaul je lui sourit doucement, il avait l'air très faible, je soupir un peut essayant de chercher encore dans me mémoire mais non, impossible de me souvenir qu'avait il encore fait?... je voulais le savoir, je fini par me lançer..

- oui c'est moi, je suis la mais dis moi que t'es t il arrivé? qui t'as mis dans cet état?