sarah et rivaul (et oui encore^^)

je suis instalée dans un lit dans la meme chambre que rivaul je dort...toujours dans le comas

J'entre dans la chambre et les vois tous les deux allongés, sous assistance respiratoire. Je m'approche d'abord de Sarah.
*ses constantes sont bonnes....elle devrait se réveiller si tout va bien dans quelques temps...*
Je m'approche ensuite de Rivaul.
*constantes moyennes....j'espère qu'ils ont tout bien regardé.*

Toujours dans le coma. J'ai encore l'impression d'avir mal partout même en dormant.

Je m'arma de patience et attendait patiemment leur réveil.

au bout de plusieurs heures d'incontience ouvre les yeux j'ai mel partout je regarde dans le vide chocé de ce qui c'est passé

Je me tourne vers Sarah. Je m'approche doucement d'elle.
"Sarah? Tu m'entends?"

je tourne les yeux vers thierry tout doucement mais sans bouger

Lui sourit.
"Tout va bien ne bouge pas..."
*au moins ele m'entend...ce que je voudrais savoir c'est...*
"Tu te souviens de moi?"

je le dévisage

*je devrais le connaitre?*

*c'est encore un peu tôt....j'espère juste que comme Rivaul la dernière fois ce ne sera que temporaire...*
"C'est pas grave reposes toi."
Je lui pose doucement ma main sur le front.

je le regarde dans les yeux puis murmure

- maman..

La regarde étonné.
*sa mère...*
Je me tourne vers Rivaul.

Je suis toujours dans le coma. Je ne bouge pas. Le visage serein, je semble dormir profondément...et c'est un peu le cas.

les seuls souvenire qui me reviennent pour le moment c'est l'immage de ma mère adoptive a l'hopital et de la carcasse de la voiture...je fixe toujours thierry qui tourne la tete je suis sont regard et voi un jeune homme allongé non loin

Je fixe toujours Rivaul. On l'a intubé parcequ'il ne peux pas respirer seul pour le moment.
*si seulement tu pouvais m'aider...*
Je regarde de nouveau Sarah.
"rendors toi Sarah. je veille sur vous."
Je lui sourit doucement.

sur ses parole ferme les yeux

Je soupir. je ne sais pas quoi faire. Je regarde de nouveau Rivaul.
"Tu vas avoir un sale surprise si tu te réveilles...me lâche pas vieux frère..."

Il arrive , retiend son soufle ...
*Sarah .... *
Il toque et ouvre la porte
"SA.."
*Imbecil, va ! *
"Saaraahh .. "
Il s´approcha et vu Rivaul et Sarah , mal en point ...
*Ma saraah qu´est ce qui t´es arriver *
Puis il demanda au docteur (son ami , quoi ! )
"Qu´est ce qui est arrivé , et l´avalanche quelle a vu c´était quoi ? ! Et pourquoi ils sont dans cette état ? ..... "
Il tremblait de peur , il respirait dificilement (bin quoi c´est sa femme quand même ! ) et s´assit sur une chaise à côté de Sarah

Je détache mon regard de Rivaul pour me tourner vers Shinishi. Je lui fait signe que Sarah dort et m'approche de lui.
"L'avalanche les a enterré tous les deux...ils osnt assez gravement blessé...viens on sort, on va à mon cabinet on sera plus au calme."
Sort en le trainant avec moi sans attendre sa réponse.

(--> cabinet du Dr marshall.)

Toujours dans le coma. Je n'entend rien de ce qui se passe autour de moi.

je me suis rendormie et n'entend rien du tout mais je me met ar rever de ce qui c'est passer je revois le chien....les gens...l'avalanche

Seul le bruit régulier de la pompe se fait entendre à travers la chambre silencieuse. Je reste toujours profondément ancré dans le coma.

m'agite en débranchants certains fils

(je re d'ici 20 minutes )

Entre dans la chambre et en referme la porte. Un autre médecin est déjà là. il demande à une infirmière de bloquer l'entrée pour le moment.
Sarah s'est agitée et a débranché certains fils. je voie l'autre médecin préparer une injection et lui planter l'aiguille dans le bras. Je le laisse faire essayant juste d'immobiliser Sarah le temps qu'il finisse. Peu de temps après, Sarah se calme et dors de nouveau paisiblement.
"Les constantes de Corsas ont baissées..."
Je lève la t^te vers le médecin qui m'a dit ça et vais vérifier.
*ne me fais pas ça Rivaul...*
"On les surveilles de près tous les deux."
Puis nous rouvrons la pièce et je vais rejoindre Shinishi.

Mon sommeil est de plus en plus lourd, je le sens moi même Mais je suis trop faible pour réagir. Je suis un peu cette lumière qui m'attire pour voir ce que c'est.
Dans la salle, le bip régulier jusque là commence à s'affoler.