.ruelle sombre.

Date d'inscription : 01/01/1970

Libre

J'etais paisiblement entrin de marché entre les ruelles. Je venais a peine d'entrer dans ville apres ma balade matinal dans la foret. Les odeurs dégouts parcemer l'environnement par ci par la. C'etait toujours aussi dégoutant mais je mis été depuis le temps fait. Voila enfin 4 ans et quelques mois que je vivais tel un solitaire. Jamais je n'avais pensé trouvé un maitre pour m'installer dans une de ses bicoques bizzaroïde. J'etais libre d'aller ou bon me semble. Je me souviens encore il y 2 ans. J'avais rencontré ce jeune homme qui m'avait un moment perturbé. Je passais de bon moment en sa compagnie mais je m'etais il y a longtemps fait la promesse de ne plus m'attacher a ces personnes. Alors j'etais parti. Quittant la ville j'en avais rejoind une autre sans meme qu'il s'en rende compte. Et puis je l'avais enfin oublié, parciellement evidement. Il restait encore clairement dans ma mémoire mais pour ne pas etre déprimé je me disais qu'il etait mauvais et qu'un beau jour il aurait fini par me faire souffrir. C'etait ainsi que je vivais dans la solitude la plus parfaite. On me crégniait rien qu'a croiser mon regard. Je faisais si peur que ca ? On dirait bien. A chaque fois que je croisais un gosse avec ses petites mains baladeuse un organe puissant vibré en moi émétant un bruit sonnore ressemblant a un grognement de mécontantement. Tout de suite le petit fuyait laissant lourdement tomber quelques larmes au sol. Suis-je sans coeur ? Non pas vraiment, du moin je ne crois pas.

Depuis vingt bonnes minutes je faisais des achats à la boutique du coin. J'avais enfin trouvé tout ce qu'il me fallait pour bien vivre. Je sortais du magasin avec des sachets en main. J'avais déjà prévu plusieurs choses à faire pendant l'après-midi, comme par exemple aller m'entraîner au tir. J'avais une veste légère qui recouvrait mon arme pour n'effrayer personne. Je regardais l'heure sur la grande horloge quand un enfant me rentra dessus. Je m'arrêtais net, posa les sachets et je remis sur pied le petit garçon qui était tombé sur les fesses. Il pleurait et ses yeux étaient tout rouges, j'étais gêné car c'était contre moi qu'il était rentré. Mais, tout en gémissant, il m'expliqua qu'un gros chien avait grogné alors qu'il voulait le caresser. Je regardais l'enfant calmement, et je posa mes deux mains sur ses petites épaules. Je pris une voix assez sévère pour qu'il n'oublie pas mes recommandations, puis je lui intima de ne plus caresser des chiens qu'il ne connaissait pas. Il me regarda de ses yeux verts, s'essuya les joues, et me répliqua que je n'étais pas son papa. Je fis des yeux étonnés, la mentalité des enfants changeaient déjà à cet âge là ? Je me relevai, demanda où ses parents étaient, et le conduis jusqu'à eux. Le petit enfant commença à raconter son histoire, je pris congé et ramassa mes deux sachets. Je repris ma route, blasé de voir des enfants répondre comme ça. Ce dont j'étais sûr, c'est que l'éducation de mes enfants ne ressemblera pas à celle là. Je pris une petite rue qui amenait directement à mon quartier quand j'aperçu un chien assez imposant. Sûrement ce chien qui avait grogné contre le petit. Je n'étais pas en colère contre ce chien, on avait empiété sur son territoire, en plus, vu la taille de l'enfant, le chien se trouvait sûrement en position de supériorité. Je posai mes achats contre le mur, près du chien. Je fis un petit sifflement pour attirer son attention. Il avait un beau regard vairon, et sa carrure apportait un sentiment de force. Je continuai de l'observer calmement.

Date d'inscription : 01/01/1970

J'etais celui que l'on observait d'une telle manniere. Déjà le ptio etait parti en courant qu'un bipéde 8 fois plus grand venait de débarquer avec un chargement plein les pattes. Je le toisa un moment aussi silencieusement que lui. Hors de question de brisé ce silence de manniere extravaguante. J'irais doucement et lui montrerait enfin qui je suis. Etais-je vraiment cette bete que l'on fuyait ? Rien qu'a entendre ce son que j'emettais beaucoup etaient pris de panique. Le jeune homme qui venait d'arrivé m'observait calmement. Il fit cependant quelque chose qui ne me plus pas trop. D'un il m'observait ... quoi ? Je sais que je suis surprenant que l'on aimerait me conquerir me dominait ! Mais il est hors de question que l'on prenne le droit de me toiser comme moi je toise les autres. Le grognement dont j'etais maitre ce fit petit a petit entendre. Il devint bientot plus intense lorsque l'humain déposa ses affaires non loin de moi. Mais que voulait il donc ! Ne pouvait il pas faire comme tout le monde ! Passez son chemin et m'oublier.

Je ne les comprendrais donc jamais. Ces humains sont descidement des etres bien trop compliqué pour que je mis attarde. Je n'ais pas que ca a faire de les observer et de leur grogner apres. J'ai une vie a continuer et sans eux ! Il faut que je subvienne a mes besoin et si ils sont toujours entrin de marcher entre mes pattes comment puis-je continuer ? Tracer votre chemin oh vous être sans coeur. J'ai vu ce dont vous etes capable et jamais je ne vous confirez ma vie et celle de mes proches. Pourquoi suis-je entrin de parler proche ... je n'en ai pas je suis seul et cela pour toujours.

(Je ne serrais finalement pas là ce soir ! Je me dépêche donc, car W-E chargé :/ ! Byeuuh ^^)

En fait, j'avais un peu peur de l'agacer à force de le regarder. Je retirai mon regard, pour scruter le fond de la rue. C'était tout de même un beau chien, même si, au bout de quelques minutes il s'était mis à faire un grognement sourd. Je n'avais pas été plus intelligent que l'enfant, j'avais aussi empiété sur le territoire du grand chien. Son poil avait l'air si doux qu'il donnait envie de le toucher, je comprends donc que le chien en ait marre de tout ces enfants qui ont risqué l'un après l'autre une caresse. Mais moi j'étais adulte, je savais donc mieux comment "faire connaissance".
Je m'agenouillai pour lui faire comprendre que je ne souhaitais pas être supérieur. Je restai à bonne distance, et je ne le fixai plus, même si ses yeux étaient très beaux. Une odeur de pain sortant du four chatouilla mes narines, en effet, à quelques mètres de là, se trouvait une boulangerie réputée pour ses baguettes et viennoiseries. J'essayai de résister à l'envie de chercher un bon croissant, de toute façon, j'avais mieux à faire, là, juste sous mes yeux. Je tendis une main confiante, assez éloignée pour qu'il choississe ce qu'il veut faire.
"Tout doux, je suis Shinishi. Tu n'as pas à avoir peur de moi.."
J'avais pris l'habitude de parler aux chiens, je ne savais pas vraiment s'ils me comprenaient, mais souvent ils avaient une bonne réaction. J'espérais que le chien allait bien réagir, mais je sais qu'au bout de plusieurs fois je ne le forcerais pas à m'accepter. D'abord, il était là avant moi, il n'avait donc aucun ordre ou contrainte à recevoir de moi, ça je le savais bien. Je restais près de lui, un sourire chaleureux sur le visage.

Date d'inscription : 01/01/1970

L'humain se ravisa finalement et s'accroupit a bonne distance. Enfin un peu de soumission ? Ce n'etait pas trop tot !! J'allais m'impassienter. Je l'observa un bon moment et me tut enfin. Ce grognement qui m'amuser un peu s'arreta et je m'assis face a lui. C'etait peine perdu si il avait pour projet de poser une patte sur mon pelage. Je tenais a ma peau. Il n'avait pas encore mon respect et celui ci etait bien compliqué a obtenir. Quelques minutes s'écoulerent, j'etais a present aussi silencieux qu'une tombe. Seul mon souffle regulier pouvait s'entendre.

Cet homme eut pourtant l'odace de briser mon silence. Sa voix aux milles cordes s'élancé laissant echappé quelques son assez familier. Oh oui il l'ait avait mainte fois entendu. " Pas avoir peur ". Evidement c'est ce qu'il disait tous. Il se presentait aussi. J'en dedui donc qu'il se prénomait Shinishi. Drole de prenom pour un humain ,d'ou cela pouvait bien venir.

" Cronos " Abboya-t-il.

Suis-je bete, il ne me comprenait pas. Domage pour lui il rattait quelque chose. A moin de parler chien il y avait peu de chance pour qu'il comprenne un jour. Ridicules ses humains !! Vraiment ridicules ! Il me semble bien que j'avais parlé. Ce n'etait pas une raison pour se croire tout permis. J'avais mon caractere et je ne céderais pas comme cela. Apprendre a me connaitre etait vraiment une galere, il fallait en avoir vraiment envie et encore ca n'aidait pas souvent.

(Désolé, j'ai mal à la tête donc je fais vite !)

Je restai accroupi car je me sentais observé. En effet ce beau chien faisait attention à mes faits et gestes, et après quelques minutes d'observation il s'assit calmement tout en arrêtant son grondement. C'était un bon début ! Je me mis contre le mur, les bras ramenés sur mes genoux. J'avais essayé de lui parler, peut-être que cela l'avait calmé. Il fit un aboiement bref, je ne sais pas vraiment ce qu'il a voulu dire. Déjà certaines questions fusaient dans ma tête, mais je ne trouvai aucune réponse sûre à aucune d'entre elles. J'éloignai finalement ma main, il n'y prêtait pas une grande importance. Sauf s'il voulait peut-être me la croquer ? Mais de là où je le voyais il n'avait pas l'air méchant, juste méfiant.

"Tu n'as pas de maître ? " demandai-je d'une voix douce

Je le regardais un moment, et je fus de nouveau attiré par son si beau regard. Mais cette fois je détournai vite le regard pour ne pas qu'il se sente observé comme une bête de scène. En parlant de scène, j'ai toujours été dégouté par l'utilisation d'animaux, comme des objets, dans les cirques. Surtout quand on sait quelle vie ils mènent en dehors du cirque, pendant les voyages, et entre les représentations. Mon visage s'assombrit un instant, comme s'il témoignait du dégout que j'éprouvais. Je fis mon possible pour reprendre un sourire convenable, même si ces horreurs trottaient encore dans mon esprit.