Lorsque l'ouragan sommeille [private]

[Bon tu es avertie, ça risque de ne pas être terrible vu comme je suis rouillé ^^' EDIT : mouais...toutes mes excuses >< j'essayerai à la première personne au prochain poste]

Le soleil était à son zenith, mais la température restait cependant agréable. Les petits oiseaux gazouillaient gaiement, leur mélodie portée par la douce brise du vent qui, elle, apportait un peu de fraîcheur. On pouvait dire que le chenil baignait dans une sorte de tranquilité, un sereineté pourtant étrangère dans ce lieu où normalement fusaient les aboiements incessants des chiens. On aurait pu croire que ces derniers, sous un accord muet, s'était tuent pour respecter et apprécier ce moment spécial.

Oui...celà aurait pu être le cas...

Mais à la vérité, c'était tout simplement l'heure de la bouffe et tous les cabots étaient occupés à vider leur gamelle. Ensuite, s'en suivrait le nettoyage des cages et des 'enclos' et, peut-être, même celui des chiens qui s'étaient le plus 'crottés'. Bien evidemment, Tovik faisait parti de cette petite bande...Il fut donc soigneusement lavé et séché, suivi d'un court brossage pour lustrer sa fourrure. Contrairement à certain chenil, les employés (et le patron) de celui-ci se souciaient du bien-être des animaux et bien entendu, savaient qu'ils partaient bien plus rapidement s'ils étaient en bonne santé.

Propre, rassasié et repu, Tovik alla donc se nicher un petit coin d'ombre pour s'y étendre de tout son long. On l'avait en effet conduit dans les cages extérieures où le petit chiot pourrait profiter du bon temps. Mais pour l'heure, Tovik avait légèrement sommeil, et c'est pourquoi il opta pour une petite sieste.

De toute façon...il pourrait toujours embêter les adultes et les bipèdes à son réveil...

J'étais venue ici pour vérifier l'état des lieux, non pas que je n'avais pas confiance en le gérant mais plutot que je me méfiais, souvent ce genre de chenil n'avait pas un bon entretient, et quand ils l'avait, ne le gardait pas bien propre très longtemps, les chiens était sales, donc plus difficile a faire adopté, et puis quelquefois mal nourrit, je m'avance donc, inconnue du personnel bien entendu, entre les cages du chenil, la première impression est plutot bonne, les chiens sont propres, pas maigres, et jappent sur mon passage, renverssant leurs gamelles qu'ils venaient de finir apparament. Cela me fend le coeur de les voir ainsi derrière les barreaux, si je m'écoutais, je les prendraient tous avec moi, mais ce ne serait pas très sage. Je continue donc mon inspection mine de rien, puis très vite je tombe sur un autre chenil, avec cours, ombragé, il y avait une gamelle, fini, mais je ne voyais pas de chien à l'intérieur, enfin, je ne vois pas le petit chiot qui dormait tranquillement à l'ombre plutot. Je m'avance donc vers la cage puis siffle un peut pour voir si un chien apparaissait. C'est la que je vois une toute petite boule de poil en rond, dans l'ombre de l'arbre, je siffle une nouvelle fois, rien, pas de réflexe.. était il faignant, sourd, ou simplement bien endomit ? Je regarde un peut autours de moi, personne.. Evidement quand ont veut savoir quelque chose, il n'y jamais personne pour vous renseigner.. Je regarde de nouveau le chiot, je voulais etre certaine qu'il allait bien, vu la taille qu'il avait de loin, il avait l'air bien jeune, donc, à surveiller.. Je me décide donc à le réveiller coute que coute.

"Coucou peiti père! OUH OUH ! aller réveilles toi ! montre toi un petit peut!"

Un titillement, un bruit agaçant...quelque chose pertubait mon sommeil pourtant déjà agité. D'un grognement à peine audible, je tentai de faire disparaître cet élément pertubateur et pendant un court instant, je cru que cela avait fonctionné. Mais non, le sifflement retentit de nouveau, apparemment résolu à m'agacer jusqu'au bout. Accompagné d'un couinement plaintif, je leva mollement ma patte pour la frotter contre mon oreille. Ainsi, je pourrais peut-être chasser le bruit aigu. Echec plus ou moins total...

Ouvrant finalement les yeux à demi, je dressa mes oreille et tourna légèrement la tête afin d'apercevoir ce qui m'empêchait de dormir. Un bipède femelle se tenait devant les barreaux de ma cage...et elle m'appelait -du moins c'est ce que je supose-. D'un bond maladroit, je me relève et complètement surexité, je me dirige au triple galop vers la bipède. Bien sûr, je n'oublie pas d'aboyer joyeusement et de balayer l'air avec ma queue. Se faisant, je manqua de peu de perdre l'équilibre et de m'écraser truffle contre sol, mais je me repris juste à temps et me rendis indem à destination. Une fois en face de l'humaine, je me redressa sur mes pattes arrières en posant ceux d'avant sur les barreaux afin d'y prendre appuie. Je lui mendie alors un peu d'affection en couinant, espérant qu'elle ma tende la main, main que je n'hésiterai probablement pas à mordiller d'ailleurs et à lécher.

Et en plus, elle sentait bon...Ma mère m'avait dit un jour de me fier à mon nez, les odeurs ne trompent pas avait-elle ajouter. Jusqu'à maintenant, ces dires s'avéraient justes.

[Toujours aussi minuscule =/]

Un peut inquiette au début de ne pas voir bouger la petite boule de poil au loin, ça avait l'air à première vu d'un chiot mais bon vu la distance je ne pouvais jurer de rien, le silence de l'animal m'inquiete un peut mais finalement je le vois bouger une patte arrière pour se gratter l'oreille, hum, je me dis qu'il avait décidé de ne pas bouger de son endroit et préférait dormir. je m'appretais a aller chercher un employé quand je vi la petite boule de poil relever la tete, je reste donc à ma place et m'accroupie l'encouragant à venir vers moi, ce qu'il fit immédiatement, il se lève et se met a courrie du plus vite qu'il peut, non sans vassiller un peut et manque de se casser la figure, ce qui me fait bien rire je dois avouer, puis finalement il arrive enfin à la grille qui nous séparait et se lève posant ses pattes de devant dessus et tout cela en couinant et en fouetant joyeusement de la queue. J'éclate alors de rire, et je passe doucement ma main pour le caresser sur la tete entre les deux oreilles, je voyais beaucoup de chiots dans mon métier mais celui ci, il était vraiment expressif, il savait se faire comprendre apparament, et la, il voulait des caresses dans l'imédiat, ce que je fais sans trop de contrainte, son poil était doux et très soyeux, et que dire de ses petits yeux noisettes.. c'était un magnifique husky, comment un si beau chien pouvait atterrir ici, c'était innhumain.. oui enfin enfaite.. c'était l'humain.. Enfin bon je souris à ce chiot le caressant vivement.

"Et bien alors qu'est ce que tu fais ici toi, un si beau chien, ce n'est pas ta place. Et comment tu t'appels hien? tu es capable de me le dire?"

Je rigole un peut et regarde sur la porte s'il y avait un nom d'inscrit, oui, il y était "Tovik"

"ah je sai, c'est Tovik, je me trompe?"

je rigole encore un peut et commance à jouer avec lui à travers les barreaux.

Je caressais donc le chiot husky qui m'avait l'air heureux que quelqu'un s'occupe de lui, d'ailleurs, il avait tellement l'air heureux qu'il m'en mordillait les doigts doucement, il devait se sentire bien seul ici, je lui sourit continuant le m'aumser un peut avec lui, oui mais voila, un petit problème vient se poser dans mon esprit alors que jouait avec lui et le regardait tout foufou, tout exité, il aboyait devant moi, partant et revenant aussi tout, tout pataud qu'il était. Ah oui le problème.., et bien c'était juste que je m'était attaché en quelques minute à cette petite boule de poil qui sautait partout et qui était si joyeuse, je soupire un peut toujours en rigolant le voyant faire, l'évidance était la, je ne pouvais pas le laisser, il était si mignion, je tourne donc la tete a gauche et a droite cherchant du regard un employé mais je ne vois rien, par contre, je vois les autres chiens, qui eux aussi attendaient un nouveau maitre aboyer. Je regarde le petit Tovik qui ne devait pas avoir plus de 2 mois puis me relève en souriant.

"Alors toi, hors de quetions que je te laisse ici, c'est bon, je te remmène avec moi mon garçon, j'espère que tu sera sage ! d'ailleurs, si tu l'es tu pourra me suivre partout ou tu en a envie."

Je lui sourit une autre fois puis prète à partir à la recherche d'un employé, je me retrouve nez a nez face un l'un d'entre eux à qui j'explique mon attention d'adopter tovik, de ce fait il ouvre la cage et me fait rentrer avec lui, attrapant tovik et lui mettant un collier et une laisse qu'il me tend et que je saisis dans la foulée, puis il repose le chiot à terre. Je m'accroupie alors ayant la laisse de mon tovik dans la main et le regade rigolant légèrement.

"Alors, ça te dis de venir avec moi ?"